Intelligence Artificielle : Bouleversements pour l’économie – Laurent Alexandre

Intelligence Artificielle

” On peut éduquer une intelligence artificielle en un millième de secondes, Il faut mille milliards moins de temps pour former un ingénieur ou un docteur. Nous avons une désynchronisation du rythme de l’intelligence artificielle et d’une intelligence biologique “ Un des problèmes soulevé est l’industrialisation de l’intelligence, notamment lorsqu’il y a le choix entre une intelligence artificielle qui est gratuite et une intelligence biologique. L’intelligence artificielle va donc faire subir des changements profonds sur le marché. La “révolution de l’intelligence” est déjà commencée … Laurent Alexandre, spécialiste de l’IA et ancien fondateur de Doctissimo soulève les enjeux et les bouleversements que l’Intelligence Artificielle va bouleverser l’économie. On rentre dans un ère ou l’intelligence va devenir “GRATUITE” et beaucoup ne sont pas prêts aux conséquences que cela va apporter. La première étape de cette révolution est le développement des plateformes (aux US et en Chine) : GAFA : Google Apple Facebook Amazon BATX : Baidu Alibaba Tencent Xiaomi Google le Leader de l’Intelligence artificielle est la société la plus aimée dans le monde, selon une étude. Il s’agit également d’un Leader en intelligence artificielle. “1er age : Algorithmes traditionnelles qui font les choses sans beaucoup d’intelligence 2ème age : Deep Learning Phase 3 : Transversalité, comme le cerveau humain “ Souligne-t-il On est donc aujourd’hui sur le point d’atteindre le 3ème age, notamment avec les réseaux neuronaux. Ces géants se concentrent également sur la biologie et le cerveau. L’enjeu pour ces sociétés est d’être capable d’augmenter le développement de l’intelligence biologique. Il a été souligné que la robotique et la biologie ne suivent pas le rythme exponentiel de développement de l’IA.

Aujourd’hui, à Madagascar les chatbots, et les algorithmes traditionnels sont en pleine mise sur le marché. A souligner, que comme la plupart des pays Africains, Facebook est largement plus développé que le web en général, d’ou la plus grande opportunité pour les chatbots de s’insérer prématurément dans le marché.